Pourtant, jusqu'à preuve du contraire, nous sommes en période de crise et en pleine mutation des habitudes de consommation. Cela devrait signifier plus de solidarité, plus de questionnement, plus de prise de risque... Et bien non, à Périgueux, on s'écharpe, on s'oppose, on campe sur ses positions et on ne dialogue pas sauf cas trop exceptionnel. C'est à rien y comprendre. De Gaulle disait "sommes nous si nombreux pour nous diviser ?". Il semble ici que oui mais attention aux lendemains qui déchantent. La ville, faute d'initiative et de travail en commun, va devenir progressivement un désert commercial tout à l'avantage des zones marchandes périphériques qui n'en demandaient pas tant. Certains veulent du calme et de la sérénité ? Et bien ils vont les avoir, mais dans ce cimetière en construction, que le dernier éteigne la lumière ! R.I.P.
mardi 30 juin 2009
Les gens heureux ?
Les gens heureux n'ont pas d'histoire, dit-on... Démission, sécession, coup d'état, complots en tous genres... Faut-il que les commerçants de Périgueux soient si heureux pour s'inventer autant d'histoires ? La lecture quotidienne de la presse est en cela édifiante. Ça ressemble plus à règlement de comptes à OK Corral qu'à la vie est un long fleuve tranquille. Si vous voulez vous occuper dans la capitale du Périgord, ne serait qu'un peu, de promotion développement et communication commerciale, mieux vaut commencer par numéroter ses abattis.
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