Trop cher, ma bonne dame ! On y comprends rien, mon pauvre monsieur ! Élitiste, mon cher ami ! N'en jetez plus, le mime est muet d'horreur... La critique est aisée mais les actes concrets le sont un peu moins. Pourtant, si je ne m'abuse, en dehors de quelques reportages par trop convenus sur les marchés à la truffe et les mésaventures de Lascaux II, Mimos reste le seul événement qui arrive à passer les frontières médiatiques de la Dordogne. Personnellement, avant de m'installer à Périgueux, j'ai appris à connaître cette ville par les articles que j'ai pu lire sur Mimos dans la presse nationale et spécialisée. Et à l'heure de la surmultiplication tous azimuts des événements culturels estivaux, nombreux sont ceux qui convoitent le positionnement unique de Mimos et sa grande qualité artistique reconnue par tous les spécialistes du genre.
Alors, juste le temps de cette 27ème édition, remisons notre morgue bourgeoise et notre orgueil local mal placé. Pour une fois, reconnaissons là le travail accompli par les bénévoles de l'association car l'engouement des périgourdins sera le meilleur outils de promotion de ce festival du silence et de la beauté...
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