Aujourd'hui, je vous demande pardon. C'est peut être un peu tard mais depuis quelques mois, j'ai enfin compris qui vous étiez, un homme bien et intègre, fragile et ombrageux. Vos larmes sur le plateau de France 2 se sont mélangées aux gouttes de sueur d'une montée de l'Alpe d'Huez pour faire un cocktail plein d'humanité et de courage.
Il est des défaites qui ressemblent bigrement à des victoires. Je ne crois pas qu'il puisse y avoir de belle mort mais, comme vous l'avez déclaré récemment, vous avez eu une belle vie...
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